Muri iyi minsi, abakire batunze amamiriyari barushaho kugwiza inoti mu gihe abakene bo bicira isazi mu jisho. Umwe muri abo baherwe bahiriwe n’ifaranga yasanze abantu , cyane cyane urubyiruko, bashyira imbaraga nyinshi mu gushaka za diporome kurusha uko bashaka amafranga. Ibyo bikabashyira mu madeni y’urudaca.
Uwo ni Peter Andreas THIEL umwe mu bashinze PAYPAL yifashishwa mu kohererezanya no kwishyurana amafranga kuri Internet. Icyo ashyigikiye ni ugufasha abanyeshuri kwiga gukora imishinga ibyara inyungu aho kwizirika ku masomo gusa na za diplome. Ibyo abiterwa n’uko ngo muri Amerika, amashuri akomeye ahenze cyane ku buryo uyarangije avamo agomba gushakisha akazi kugira ngo yishyure imyenda yafashe yiga..
Aho ni ho yahereye ashyiraho intego yo gutera inkunga abanyeshuri 2O(buri mwaka) bazemera guhagarika ayo masomo bakamugaragariza imishinga irimo udushya(projets innovants). Inkunga kuri buri mushinga wemewe ni amadorali ibihumbi 100 bingana na 76 000 euros!
Nyiramahirwe uwo azamara umwaka wose abana i San Francisco(Calfornia)n’abandi bafite imishinga itandukanye kugira ngo bungurane ibitekerezo ku buryo bwo guteza imbere imishinga yabo. Niba ushaka kugera ikirenge mu cye no gutunga inoti mu gihe gikwiye,itegure maze wiyandikishe hano: https://www.thielfellowship.org/
Dans toutes les civilisations, l’eau est un symbole de régénération, car c’est la boisson dont nous avons constamment besoin ; elle nettoie et restaure constamment notre vie. Elle peut être maltraitée, rendue inutilisable et non potable, polluée et gaspillée, mais le seul fait qu’elle soit nécessaire pour la vie humaine, animale et végétale exige de nous – selon nos différentes fonctions en tant que responsables religieux, politiciens et législateurs, acteurs économiques et du monde des affaires, agriculteurs ruraux ou agriculteurs industriels, etc. – de faire preuve ensemble de responsabilité.
Une corvée pour les enfants
Comme des gisements d’or cachés
Le problème, c’est qu’il y a beaucoup d’eau sur la planète Terre! Il suffit de penser aux océans immenses et profonds. On estime ordinairement que l’eau salée représente environ 97, 5% du total des ressources en eau, et l’eau douce seulement 2, 5%. Sur cet ensemble d’eau douce, environ 98, 8% se trouvent dans les glaciers et dans le sous-sol, et le 1, 2% restant représente l’eau située dans l’atmosphère et chez les êtres vivants, ainsi que l’eau douce facilement accessible aux humains dans les lacs, les marais et les rivières. Ce petit pourcentage d’eau douce facilement accessible suffisait à répondre aux besoins de la population mondiale au début du XXIème siècle.
Dans de nombreux cas, la fourniture, le transport, le traitement et les opérations de purification pour avoir accès à l’eau potable (ainsi qu’à l’eau douce à d’autres usages, comme dans l’agriculture, le bâtiment et l’industrie), ont un coût. Il est donc juste de reconnaître le rôle de l’eau dans la production et donc dans l’économie, ce qui équivaut à reconnaître que l’eau possède une “valeur économique.”
Gain pour certains et droit inaccessible pour d’autres
Cette valeur économique se voit à travers le coût ou le tarif que tout marché ou fournisseur (qu’il soit public ou privé) peut fixer pour l’eau (y compris le commerce des droits de l’eau pour l’irrigation, et le marché de l’eau en bouteilles),coût qui ne sera jamais à la hauteur de l’utilité et de l’essentialité de l’eau (qui est inestimable) ; il ne peut pas non plus constituer un obstacle au droit à l’accès universel de l’eau, en particulier le droit pour les populations pauvres de boire et d’assurer leur hygiène personnelle, de cuisiner et, là où c’est nécessaire, d’avoir accès à un minimum d’irrigation de subsistance (usage domestique)
Plus de biceps pour avoir de l’eau!
Que se passe-t-il quand il y a coupures d’eau? De nombreuses familles sont obligées d’acheter de l’eau à des vendeurs informels à des prix très élevés (par rapport à leurs revenus modestes et comparé à ce que coûterait l’eau fournie par des systèmes publics de distribution). Par ailleurs, elles n’ont pas la possibilité de contrôler la qualité de l’eau qu’elles achètent souvent à des camions citernes informels.
Pire encore, les populations particulièrement pauvres risquent de ne pas être en mesure de payer leur facture d’eau ou d’acheter de l’eau. La suppression de fontaines publiques ou leur fermeture (par exemple en périodes de sécheresse) peut mettre en péril l’approvisionnement en eau de certains groupes pauvres. Un autre problème dramatique est constitué par les cas d’exploitation sexuelle pour avoir accès à l’eau : si les autorités ne protègent pas correctement leurs citoyens, il arrive que des fonctionnaires ou des techniciens chargés de la distribution de l’eau ou du relevé des compteurs profitent de leur position pour exercer un chantage sur les personnes incapables de payer l’eau (généralement des femmes), exigeant d’avoir des rapports sexuels pour ne pas interrompre la fourniture d’eau. Ce type d’abus et de corruption est appelé sextorsion dans le domaine de l’eau.
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Nul ne doit être laissé en arrière
S’il existe un “droit” à ne pas être laissé à l’arrière sur la voie du développement, alors l’accès à l’eau et à l’assainissement doit être un droit qui comporte un “devoir” de ne laisser personne en arrière. Cela doit guider l’action de tous les décideurs publics et privés ainsi que des consommateurs, des juristes, des familles et de la communauté scientifique.
Chacun a le devoir de ne pas gaspiller l’eau et de modérer sa consommation. Transporter, purifier et consommer l’eau a un coût et requiert de l’énergie et l’on peut dire, au moins dans certains cas, que les sommes dépensées pourraient l’être de façon plus utile en aidant les personnes très pauvres dans leur développement intégral.
Selon OMS(Organisation mondiale de la santé), pour boire et satisfaire ses besoins d’hygiène, chaque personne a besoin, chaque jour, de 20 à 50 litres d’eau ne contenant ni produits chimiques dangereux ni contaminants microbiens. Il est prouvé que les investissements en faveur de l’eau de boisson salubre et de l’amélioration de l’assainissement améliorent la santé et la productivité économique. Beaucoup reste à faire pour fournir ces services fondamentaux à une large part de la population.
L’eau du robinet toute potable?
Il est donc important d’informer les citoyens des droits dont ils jouissent dans un pays donné, en particulier le droit humain à l’eau potable, et les aider, si c’est possible, à obtenir justice au cas où le droit à l’eau potable est violé.
Ce 17 mars 2021 à 18h00, le président tanzanien, John Magufuli est mort « de la crise cardiaque », selon Samia Suluhu Hassan, vice-présidente. Né le 29 octobre 1959, Magufuli a été élu président le 25 octobre 2015 et réélu le 25 octobre 2020. Le voilà parti à 61 ans!
Le « Bulldozer » laisse donc derrière lui un champ très vaste, à peine commencé. « Tinga Tinga » a-t-il manqué de carburant? Oh, Afrique! C’est le deuxième président, après Pierre Nkurunziza du Burundi , que l’Afrique de l’Est perd dans des circonstances si floues. Qu’il repose dans la paix.
Dans les moments difficiles, nos écoliers ont l’habitude de s’entraider mutuellement. Chaque fois que l’un d’entre eux perd un membre de la famille , ils se réunissent et collectent autant de vivres qu’ils peuvent..
Par exemple, au début de ce mois de Février 2021 , quand deux enfants ( confrères) de même classe ont perdu leurs papas, nos écoliers ont pu collecter divers vivres pour les soutenir, leur rendre visite et leur montrer qu’ils sont avec eux dans ces dures épreuves.
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C’est peu de choses , mais c’est réconfortant ,surtout pendant ce temps de Carême où l’esprit de partage doit être le fruit de nos privations. A la source de tous leurs témoignages: oeuvres-caritatives-au-sein-de-lecole-primaire-nyabigoma/
L’Association « le Creuset du Pardon » de Muyange(Diocèse Cyangugu-Rwanda)continue de s’équiper grâce aux aides des amis de Rennes(France). Machines à coudre sont achetées. Bientôt des machines à tricoter? Ce sera possible par la vente de leurs jolis paniers qu’il devient difficile d’écouler sur place à cause du Covid. Regardez-les sur:https://sourireauxmillecollines.wordpress.com/2021/03/12/de-bien-jolis-paniers-prets-et-tout-pres-de-vous/
Après son passage à la Paroisse RASANO, le nouvel évêque de Cyangugu, Mgr Edouard SINAYOBYE a été accueilli par la Paroisse NYABITIMBO qui a donné naissance à Rasano.
Il vient de découvrir ainsi les deux paroisses situées dans la région d’UBUSOZO. Il était accompagné par Mgr Célestin Hakizimana, Administrateur apostolique jusqu’à l’ordination épiscopale le 25 mars dont voici l’invitation:
Avec le Chancelier, P. Athanase KOMERUSENGE, ils ont rencontré les prêtres en mission dans cette paroisse: le curé, RUKUNDO François Xavier, le Vicaire-économe, UMWANZAVUGAYE Calliope. Le troisième, Abbé HATEGEKIMANA Faustin était parti se faire soigner à l’hôpital.
Devant le presbytère de Nyabitimbo(à gauche):P. Calliope, Mgr Célestin, Mgr Edouard, P. Xavier et P. Athanase
Quant aux paroissiens , ils les ont accueillis joyeusement sous les danses et les tambours.
Tous ont pris le temps d’admirer les infrastructures disposées sur cette montagne bien perchée, en face du BURUNDI.
Avec quelques chrétiens, prêtres et ces deux évêques ont saisi de l’occasion pour faire l’Adoration du Très Sacrement dans cette église dédiée à Notre Dame, Mère de Dieu.
Un périple qui s’est achevé dans la paroisse de Mashyuza, traversant de la sorte toutes les paroisses frontalières du BURUNDI, et donc les plus éloignées de l’évêché de Cyangugu. Ainsi, le nouvel évêque sera à même de « pourvoir d’une manière plus adaptée au bien des fidèles » dont il aura connu « les besoins dans le contexte social où ils vivent »(Christus Dominus n°16,§5)
Dans le District de RUSIZI(Ouest du Rwanda),beaucoup de nouvelles classes n’ont pas été achevées avant la réouverture des écoles. Le taux d’occupation, sinon de surpopulation, est encore élevée. Le problème n’a pas été résolu. Le but de construction de nouvelles salles n’a pas été atteint.
Or, au Rwanda, on est dans la période des pluies. La situation est vraiment désastreuse. Faute d’information et de concertation, élèves et enseignants peuvent avoir l’impression d’être abandonnés par les autorités. Certes, il y a des régions qui sont devenues inaccessibles à cause des pluies même: ponts coupés ou routes complètement boueuses..
Mais, pourquoi les organisateurs de ces travaux de construction n’ont pas tout anticipé pour terminer à temps comme dans les Districts de l’Est, par exemple? Sur ces 2 vidéos, regardez le désarroi de ces établissements lorsqu’il pleut:
A MUNYOVE(Secteur Gihundwe)
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2. A NYABIGOMA( Secteur Bweyeye)
Sans doute que tout cela va être corrigé immédiatement.
Le Père Ubald RUGIRANGOGA qui est décédé aux Etats-Unis d’Amérique, a été enterré au Rwanda. La célébration de ces obsèques est faite en deux étapes: lundi 1 mars à Kigali(paroisse Regina Pacis) et à Cyangugu(son diocèse d’origine)pour l’enterrement (mardi 2 mars)au Centre de la Paix(Ibanga ry’Amahoro). Suivez tout en photos:
A) Cérémonie de derniers adieux à Kigali
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B)Célébration d’enterrement au Centre de la Paix dont il était fondateur et directeur.
Compte tenu du nombre de gens qui l’ont accompagné jusqu’à sa dernière demeure, malgré les mesures sanitaires de Covid, il est à parier que son œuvre ne manquera pas de soutien pour continuer. L’Esprit de Conseil ne sera pas absent.
Quand nous sommes arrivés au Rwanda(2019), nous avons constaté que c’est un pays aux paysages variés avec des richesses naturelles importantes tant au niveau de la forêt que de la faune..
Gorilles des Volcans
Les montagnes sont admirablement exploitées en une agriculture en terrasses où des céréales(blé … ) ou des légumes(pommes de terres..)sont semées
Plantation des pommes de terre
Au centre du Rwanda, nous trouvons les champs de café (à gauche) et de thé ( à droite) dans les plaines, et parfois sur les collines.
Ils étaient nombreux à rendre hommage au Père Francis LASSALLE. Lors de ses obsèques, nous avons reçu même des messages de reconnaissance sur une centaine de cartes de visite-condoléances. En voici quelques-uns qui reflètent l’admiration que les gens avaient pour lui:
« Nous avions une grande affection et du respect pour lui. Il faisait partie des personnes qui comptaient pour nous et il nous éclairait dans notre foi »
« Nous remercions grandement le Père Lassalle pour tout ce qu’il a apporté à notre famille »
« Comme lui, nous gardons dans nos cœurs le chemin de Croix de Monthault(qu’il a créé), les équipes de prière à Marie, le théâtre… »
Cela est aussi confirmé par le Père Fernand LEPAGE qui l’a côtoyé pastoralement(dans la paroisse de Saint Judicaël) depuis 2007. Il l’a souligné dans son homélie lors de la messe présidée par P.Henri Chesnel. Dans cette homélie qui a beaucoup touché l’auditoire, il disait:
« Francis dans son parcours a fait l’expérience -c’était dans les années 70-80- d’une révélation, qui fut pour lui, disait-il, une conversion. C’était lors de son 1er séjour à Paray-le-Monial. L’Esprit-Saint s’est manifesté à lui, en lui, et l’a transformé…à partir de là, a fait grandir son attention aux autres, il s’est fait plus proche de ceux qu’il rencontrait. Son ministère sacerdotal a revêtu une autre forme, cherchant toujours à aider, à prendre soin de ceux qui étaient désemparés et souffraient près de lui… et à créer de nouvelles manières d’annoncer l’Evangile.
C’est ainsi que dans le pays de Fougères, il a créé avec des laïcs ce chemin de croix de Monthaut, dont beaucoup connaissent le succès. Il s’est investit en plus de ses services, de ses responsabilités paroissiales pour des communautés nouvelles comme les Béatitudes à St Broladre et à Iffendic. Jusqu’au bout, il est resté fidèle à proclamer la Bonne Nouvelle et à la porter dans la prière.
Vous pouvez lire ou télécharger la totalité de cette homélie:
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