RECETTES ET CUISINE RWANDAISES

La cuisine rwandaise est copieuse, bonne et seine. Il est possible de manger, pour le petit-déjeuner, salé ou/et sucré. Exemple : potage, omelette … café/thé, lait, confiture, miel/sucre, beurre/margarine, pains/brioches.

Les repas déjeuner/ dîner peuvent se composer de différents aliments: potage, fruits : bananes, prunes du japon, fruits de la passion riz, haricot rouge, pomme de terre, poissons , frites, sauce tomate, petits pois, oignons, carottes…

Pour les hôtes d’honneur, il peut y avoir une brochette de chèvre. Cuisine très appréciée par les Rwandais..

Repas avec brochette de chèvre
Brochette de chèvre offerte à NKOMBO

S’il y a plusieurs sortes d’aliments et de fruits, c’est parce que l’agriculture rwandaise est très variée en fonction de la géographie du terroir. D’où la belle variété de fruits et légumes au marché .

Fruits au marché (Rwanda)
Différents fruits au marché

Lisez tout le témoignage de Jacqueline: Et-si-nous-parlions-de-la-cuisine-rwandaise.

Pour tout apprécier vous-mêmes, ne ratez pas l’occasion de visiter le Rwanda. Vous verrez mieux et davantage!

By P.Protogène BUTERA

Saviez-vous que le piment rallonge votre durée de vie?

Ah non, ça pique! Et pourtant c’est bon pour la santé. Tel est le résultat d’une étude de l’American Heart Association qui a prouvé les bienfaits du piment dans l’alimentation puisqu’il permet de réduire les risques de cancer et de maladies cardiovasculaires.

Les chercheurs ont, en effet analysé 4.279 études différentes, issues de cinq bases de données mondiales, dans le but de comparer les indicateurs de santé des différentes personnes, en fonction de leur consommation de piment.

Si des précédentes recherches avaient montré l’effet antioxydant, anti-inflammatoire, régulateur de la glycémie du piment, grâce à sa capsaïcine (ce qui lui donne son «piquant»), cette nouvelle étude pointe «un risque significativement réduit de mourir d’une maladie cardiovasculaire ou d’un cancer» en en consommant régulièrement

Les données très éparses rendent en effet complexes les conclusions définitives à tirer concernant la dose, la régularité et le type de piment qu’il faudrait manger pour en tirer des bénéfices pour la santé.

Type de piment efficace

En tout état de cause, la mortalité totale des participants consommant du piment rouge s’élevait à 21,6 % contre 33,6 % pour ceux qui n’en consommaient pas.

L’efficacité de ce piment rouge s’expliquerait par la façon dont la capsaïcine, principale composante des piments, affecte les canaux du récepteur transitoire (TRP) du corps. En effet, l’activation du TRP vanilloïde de type 1 (TRPV1) stimule les mécanismes cellulaires contre l’obésité. Une protection entraînant une diminution du risque de maladies cardiovasculaires, métaboliques et pulmonaires.

Les piments rouges contiennent également d’autres éléments nutritifs, dont les vitamines B, la vitamine C et la vitamine pro-A, ce qui peut, en partie, expliquer son effet protecteur.

Vous qui aimez l’AKABANGA(Le petit secret)vous avez évidemment raison. Un peu de pilipili, et vous aurez plus de punch!!

By P.Protogène BUTERA

La gourmandise , un péché ou un défaut de mesure?

Péché mignon ou vilain défaut, la gourmandise ne cesse pas de tourmenter la plupart des gens, qu’ils soient chrétiens ou non. Pendant le Carême, elle devient même sujet de préoccupation majeure dans le cadre du jeûne.

Il y a de quoi se poser cette question: Faut-il arrêter de manger ce qu’on aime quand l’Evangile est plus que clair: « Ce n’est pas ce qui entre dans la bouche qui souille l’homme; mais ce qui sort de la bouche, voilà ce qui rend l’homme impur« (Matthieu 15,11)?

Par définition

Le Robert définit la gourmandise comme le « goût de la nourriture », tandis que Le Petit Larousse la définit comme un « défaut du gourmand ». Le Catéchisme de l’Eglise Catholique, quant à lui, la range parmi les « vices rattachés aux péchés capitaux » parce qu’ils « génèrent d’autres péchés ou d’autres vices« .

Ainsi, la gourmandise est placée après l’orgueil, l’avarice, l’envie, la colère, l’impureté, et avant la paresse ou l’acédie. Dans la morale chrétienne, elle est assimilée à une envie désordonnée de manger ou de boire ce qu’on aime mais sans en avoir vraiment besoin.

Par définition, on peut dire que c’est une attitude qui couvre le sens de manger ou de boire comme un animal. Ce qui équivaut à de la gloutenerie. Et c’est en cela qu’elle est mauvaise et devient du fait même un péché.

Tout un art

Positivement, la gourmandise peut être une attitude à apprécier la nourriture ou la boisson, à prendre du plaisir à manger ou à boire par rapport à la qualité moins qu’à la quantité.

Résultat de recherche d'images pour
Le plaisir de bien manger

A ce niveau, on est dans l’ordre du raffinement, de la raison et de la délicatesse. On n’est plus dans l’excès. C’est tout un art d’entretenir la vie et la santé; le prix de la longévité!

Avec mesure

Pour les gens dont la cuisine est la mesure de la vie, la gourmandise n’est pas un péché. La raison en est qu’une bonne cuisine sait tout mesurer de sorte que ce qui faisait de la gourmandise un péché, selon Saint Thomas d’Aquin, n’est plus possible:

manger trop tôt(praepropere);
manger trop coûteux(laute);
manger trop(nimis);
manger avec trop d’impatience(ardenter);
manger avec trop de goût(studiose).

L’exemple est votre bébé

Si vous hésitez sur ces attitudes ou doutez de ce que nous avons avancé, l’exemple est votre bébé. Voyez comme il raffole des belles choses! Vous direz que l’enfant ne peut pas commettre le péché en rapport avec des choses dont il n’est pas conscient.

Vous qui les lui donnez, même si vous avez les moyens financiers de lui en offrir autant qu’il a de l’appétit, vous le ferez sans limite? Et si vous pensez que cela ne vous concerne pas, ne regardez-vous pas les publicités qui vantent les recettes de la bonne cuisine? Est-ce que vous en achetez de tous les goûts? Voilà un très bon test de la maîtrise de soi.

Par Protogène BUTERA

Kwa Magendu ni ho amenyo agura make!

Abarwana no kuramuka(survie)bajya kwivuza amenyo nta garuriro, mbese nk’umurwayi uri hafi kunogoka. Hari n’abibwira ko iyo amenyo atabarya, ataba arwaye. Aba bibagirwa ko n’imodoka, bitewe n’akazi ikora, igomba gukorerwa « contrôle technique » ku gihe; n’ubwo na byo bikosha!

Amenyo arahenze

Mu ntego z’Ikinyagihumbi za OMS(Objectifs de l’OMS pour la santé bucco-dentaire) bagaragaza ko hari indwara z’amenyo ziterwa n’ubukene. Kandi koko isuku y’amenyo irahenze cyane kuko isaba igihe n’ubushobozi bw’amafaranga bidafitwe na benshi.

Abarwana no kuramuka(survie)bajya kuyivuza nta garuriro, mbese nk’umurwayi uri hafi kunogoka. Hari n’abibwira ko iyo amenyo atabarya, ataba arwaye. Aba bibagirwa ko n’imodoka, bitewe n’akazi ikora, igomba gukorerwa « contrôle technique » ku gihe; n’ubwo na byo bikosha!

isuku y'amenyo

Nyamara, nk’uko tubikesha afriquefemme.com, hari uburyo busanzwe(naturelles) bwo kwita ku menyo hakoreshejwe imbuto nk’indimu(citrons zivanze n’amazi ku ngano imwe z’akayiko), inkeri cyangwa ibishishwa by’imineke (usirita ku menyo mu minota 2,ugategereza iminuta 15 mbere yo koza amenyo). Hari kandi na karoti(kuzihekenya zogeje neza)tutibagiwe ko n’abakurambere bacu bakoreshaga ivu cyangwa amakara aseye neza.

Abo indugu n’amazi yo mu Kivu cyangwa agatabi byahemukiye amenyo agahinduka nk’icyuma cyatonze umugese, nababwira iki? Naho abagendanaga Nyiramunukanabi mu kanwa(mauvaise haleine)uwo mutwaro uzahinduka amateka. Niba ushaka kumenya n’ibindi wakwifashisha, fata iminota mikeya wihitiremo:
https://www.youtube.com/watch?v=WISRPQDREpw

amenyo mashya

Mu rwego rw’iterambere, abagize ibyago byo kutagira amenyo atuma baseka ngo baberwe, bashakirwa uburyo bwo kuyahinduza no kuyagorora(orthodontie). Naho abo abuza ubuhwemo bakajya kuyakuza, bagomba guhabwa amahirwe yo kuyasimbuza(prothèses dentaires)cyangwa kuyakomeza(couronnoplastie).

Ese mu gihugu nk’u Rwanda bizashoboka mu gihe abaganga b’amenyo bakiri mbarwa(12 muri2013)batuburwa n’abanyamahanga 17?Muganga 1 niyita ku bantu barenze ibihumbi magana atandatu(600000)ba magendu bakura amenyo n’abavura ibyinyo ntibazahorana isoko? Bamwe babagana ngo kwa Magendu ni ho amenyo agura make, kuko umuti atanga ari ukuyakura, ni nde uzabarenganya?

Itariki ya 20 z’ukwa gatatu(20 mars)ni umunsi mukuru mpuzamahanga w’ubuzima bw’amenyo(journée mondiale pour la santé bucco-dentaire). Itegure hakiri kare, maze uzawizihize utanga ubuhamya bw’aho ugeze wisubiza umutamana.

P.B

When 50% of Burundians, Eryteans, Malagasiers and Rwandese will be shortest people in Africa

In some African countries, stunting is so prevalent that, considering the statistics today, 2030 almost half of the young adult population will be shorter than they should be.

Instead of some encouraging results, levels of hunger in the developing world have declined by more than one-quarter since 2000, there are still some big shocks – 795 million people still go hungry and more than one in four children are affected by stunting.

In a Nutrition Overview, the World Bank explains how undernourished children are more likely to die in the first few years of life. If they survive, they have lower educational and income attainment. Similarly, stunted children are more likely to start school later, perform more poorly on cognitive functioning tests, and are more likely to drop out of school.

Studies also showed that adults who are stunted as children earn 20% less than comparable adults who were not stunted and are 30% more likely to live in poverty and less likely to work in skilled labour. Thus, the economic costs of undernutrition, in terms of lost national productivity and economic growth, are significant – ranging up to 11% of the GDP in Africa each year.

In some African countries, stunting is so prevalent that, considering the statistics today, 2030 almost half of the young adult population will be shorter than they should be.

Looking at the B>four worst performers – Burundi, Eritrea, Madagascar and Rwanda – while the Global Hunger Index didn’t go into reasons why they performed so badly, here’s a quick analyses of why almost half of the population is just not as tall as it should be:

Burundi

Bwaki Burundi

Burundi has a very densely packed population. The vast majority rely on agriculture and are very vulnerable to climate hazards. Limited land access and limited crop diversity means that rising costs of food will affect nearly everyone, for example, the price of beans increased by nearly 50% in recent years – and the average household now spends over 70% of its income on food.

Another contributing factor is poor infant-feeding practices during an important transition period to a mix of breast milk and solid foods between six and nine months of age. In Burundi almost one in eight children are not fed appropriately with both breast milk and other foods.

Eritrea

Bwaki Erythrée

In Eritrea low land productivity is a key factor in stunting. Currently, the cultivated area is estimated at just 672,000 ha of which over 90% is under rained subsistence farming using traditional systems. Generally yields are very low and crop failures occur on average from 1 in 3 years to 1 in 5 years due to frequent erratic rainfall. Severe land degradation further reduces the land’s productivity. The total livestock population is high but productivity is low due to shortages of feed and water, and problems with pests and diseases.

Stunting is also attributed here to unsafe water and poor sanitation; access to sanitation in rural areas stands at 14%, which contribute to repeated diarrhea diseases leading to malnutrition.

Madagascar

Bwaki Madagascar

In Madagascar the driving force of stunting is a lack of money. About 76.5% of the population lives in poverty, this means that most people are unable to afford adequate nutrition. Children’s diets typically consist of only rice and root vegetables suffer from malnutrition.

Although many children consume enough calories, they have trouble growing because their diet consists almost exclusively of rice, to which cassava or a salty soup may be added and, if the family has enough money, some fatty meat.

Rwanda

Bwaki

A key issue for Rwanda’s stunting problem relates to the mothers and their lack of education on feeding and weaning. Though rates of stunting has decreased over time, the mothers’ levels of education have a clear inverse relationship with the prevalence of stunting.

Also, again relating to the mother, when pregnant women do not have appropriate nutritional intake during pregnancy, and children do not receive the foods, feeding and care required for normal growth during their first two years chronic malnutrition occurs.

Data on Rwanda shows the situation of child stunting in 2013 remained serious with the highest rates (58%) among children 6-18 months of age. Almost 15% were found to be stunted at two months which indicates a poor growth of the foetus during pregnancy.

P.B

Source: By 2030 about 50% of Burundians..

%d blogueurs aiment cette page :