Kuri uyu wa gatanu tariki ya 22 Gashyantare,byari ibicika kuri Stade Mpuzamahanga ya HUYE.Mukura VS yari yakiriye Gikundiro, Rayon-sports ikunzwe na benshi muri iki gihugu cy’Imisozi Igihumbi.
Byari byitezwe ko uyu mushyitsi wakuriye i Nyanza atahana amarira i Kigali aho yimukiye. Ngo Mukura yari yiteguye bihagije kongera gukora Abareyo mu jisho,kuko abakinnyi bayo yagombye kubahemba ibirarane byose yari ibarimo.
Abafana ba Mukuru bari babukereye
Si ko byagenze
Iminota 10 y’igice cya mbere yari ihagije kugira ngo Rayon yerekane ko itari agafu k’ivugwarimwe.Muri iyo minota,Niyonzima Olivier Sefu yabatsinze icy’umutwe maze abafana ba Mukura bose bata umutwe.Mu gihe bari bagishakisha ubavugutira umuti,Michael Sarpongo yacometsemo icya 2,abari basigaye bose bagwamo imbeho.Hari ku munota wa 28.
Abafana n’abakinnyi bishimanye
Igice cya mbere cyarangiye ari 2 kuri 0.Nk’ikipe iri iwayo,Mukura yari yizeye ko byose bishoboka,ikishyura ndetse igatsinda.Si ko byagenze kuko ku munota wa 65,rutahizamu mushya wa Rayon,Jules Ulimwengu yateyemo igitego cya 3, nuko ab’imihondo bahondoberera aho bari pe.Si bo barose ifirimbi ya nyuma ivuga.
Rayon Sports yanze agasuzuguro
Gutsindwa uyu mukino byari kuba ari agasuzuguro gakabije.Ibi Rayon Sports yaje ibizi.Mu mukino ubanza wabereye i Nyamirambo,Mukura yari yayitsinze 2 kuri 1.Bikiyongeraho ko n’umwaka ushize yari yayitwaye igikombe cy’Amahoro.Ibi byatumaga ikipe iri iwayo irushaho kwirya icyara,ngo n’ubundi abagutsinze ntaho bagiye!
Aka gatebo k’ibitego 3 itewe, gatumye Mukura isubiza amerwe mu isaho.N’ubwo banganya amanota,umwanya wa 2 iweguriye Rayon Sports, naho umutoza Robertihno wayo abakinnyi bamuterera mu bicu baririmba ngo « Professor wacu ».
Umutoza Robertihno bamuteruye!
Nk’uko nanone bigaragara kuri ruhagoyacu.com, uyu munsi wa 17 w’imikino usize hari andi makipe 2 na yo ari kurwanira umwanya wanyuma: ayo ni Amagaju FC na Kirehe FC.
Dans la continuité des béatitudes de Luc(dimanche dernier), l’Évangile de ce 7° dimanche nous adresse un commandement nouveau qui heurte pourtant les esprits de chercheurs de nouveauté et qui confirme par ailleurs le désir de chacun : être aimé. Concrètement, chacun n’est-il pas ennemi de quelqu’un et bien-aimé de quelqu’un d’autre ?
Si ce commandement parait difficile, son application est adoucie et simplifiée par ce principe connu depuis longtemps : « Ce que tu n’aimes pas toi-même, ne le fais à personne ». Ne veux-tu pas avoir une vie bonne, avec moins de soucis et moins de fragilités ?
Pour cela, la deuxième lecture nous rappelle que la vie est un cadeau fait d’argile. Ce cadeau est donc délicat. Il faut le traiter avec délicatesse. Ce qui ne pose pas de problème d’autant que chacun sait en prendre soin. La différence réside dans l’intensité et la qualité de soins exigés par son propre corps.
En entretenant ce corps, c’est le physique qui passe en premier lieu tandis que le spirituel est relégué en second lieu, s’il n’est pas oublié. C’est cette mesure qui doit être bien tassée, équilibrée pour nous qui, par le baptême, buvons à la même coupe du Seigneur : sa mort et sa résurrection.
Quiconque reconnait que le Christ est l’origine de ce cadeau qu’est la vie, comprend pourquoi il nous est dit : « Vous serez les fils du Dieu Très-Haut », car Jésus lui-même vient du ciel. En le recevant, nous passons de l’être physique, adamique, à l’être spirituel, christique, dans la mesure où nous recherchons des biens spirituels que nous obtenons en répondant à ce commandement : « Faites du bien »
Regardons quel bien nous pouvons faire à nos ennemis. L’exemple de David et Saul est éclairant : se mettre à une bonne distance (éviter la collision), ne pas arrêter le dialogue et au besoin, faire intervenir un médiateur (=ce jeune garçon qui doit traverser…)
Afin de parfaire notre chemin, cinq autres actions possibles sont énoncées à l’impératif : soyez (miséricordieux=parfaits), ne jugez pas, ne condamnez pas, pardonnez, donnez. Ces actions nous font du bien d’abord à nous-mêmes, nous remplissent de tonus pour nous remettre dans la course et proposer ce bien aux autres. Et il n’est pas déraisonnable de s’y mettre, car juger, condamner, calomnier…nous séparent de tous ces gens sujets de notre regard.
Fils du Très-Haut, nous pouvons être juges ou avocats, donc amenés à juger, à condamner ou à défendre ; nous avons à nous montrer à la hauteur de toutes les attentes et de nos responsabilités. Et toutes les armes sont à notre portée si nous agissons de manière à ne pas perdre la couronne, car, comme le dit le Psalmiste, « Le Seigneur te couronne d’amour et de tendresse » afin que la haine et la vengeance ne prennent point le dessus.
A bon entendeur, salut !
By P.Protogène BUTERA
Voici les lectures de ce dimanche:
PREMIÈRE LECTURE
(1 S 26, 2.7-9.12-13.22-23)
Lecture du premier livre de Samuel En ces jours-là, Saül se mit en route,il descendit vers le désert de Zif avec trois mille hommes, l’élite d’Israël, pour y traquer David. David et Abishaï arrivèrent de nuit, près de la troupe. Or, Saül était couché, endormi, au milieu du camp, sa lance plantée en terre près de sa tête ; Abner et ses hommes étaient couchés autour de lui. Alors Abishaï dit à David : « Aujourd’hui Dieu a livré ton ennemi entre tes mains. Laisse-moi donc le clouer à terre avec sa propre lance, d’un seul coup, et je n’aurai pas à m’y reprendre à deux fois. » Mais David dit à Abishaï : « Ne le tue pas ! Qui pourrait demeurer impuni après avoir porté la main sur celui qui a reçu l’onction du Seigneur ? » David prit la lance et la gourde d’eau qui étaient près de la tête de Saül, et ils s’en allèrent. Personne ne vit rien, personne ne le sut, personne ne s’éveilla : ils dormaient tous, car le Seigneur avait fait tomber sur eux un sommeil mystérieux. David passa sur l’autre versant de la montagne et s’arrêta sur le sommet, au loin, à bonne distance. Il appela Saül et lui cria : « Voici la lance du roi. Qu’un jeune garçon traverse et vienne la prendre ! Le Seigneur rendra à chacun selon sa justice et sa fidélité. Aujourd’hui, le Seigneur t’avait livré entre mes mains, mais je n’ai pas voulu porter la main sur le messie du Seigneur. » – Parole du Seigneur.
PREMIÈRE LECTURE (1 Co 15, 45-49) Lecture de la première lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens Frères, l’Écriture dit : Le premier homme, Adam, devint un être vivant ; le dernier Adam – le Christ – est devenu l’être spirituel qui donne la vie. Ce qui vient d’abord, ce n’est pas le spirituel, mais le physique ; ensuite seulement vient le spirituel. Pétri d’argile, le premier homme vient de la terre ; le deuxième homme, lui, vient du ciel. Comme Adam est fait d’argile, ainsi les hommes sont faits d’argile ; comme le Christ est du ciel, ainsi les hommes seront du ciel. Et de même que nous aurons été à l’image de celui qui est fait d’argile, de même nous serons à l’image de celui qui vient du ciel. – Parole du Seigneur.
ÉVANGILE (Lc 6, 27-38)
Évangile de Jésus Christ selon saint Luc
En ce temps-là, Jésus déclarait à ses disciples : « Je vous le dis, à vous qui m’écoutez : Aimez vos ennemis, faites du bien à ceux qui vous haïssent. Souhaitez du bien à ceux qui vous maudissent, priez pour ceux qui vous calomnient. À celui qui te frappe sur une joue, présente l’autre joue. À celui qui te prend ton manteau, ne refuse pas ta tunique. Donne à quiconque te demande, et à qui prend ton bien, ne le réclame pas. Ce que vous voulez que les autres fassent pour vous, faites-le aussi pour eux. Si vous aimez ceux qui vous aiment, quelle reconnaissance méritez-vous ? Même les pécheurs aiment ceux qui les aiment. Si vous faites du bien à ceux qui vous en font,quelle reconnaissance méritez-vous ? Même les pécheurs en font autant. Si vous prêtez à ceux dont vous espérez recevoir en retour, quelle reconnaissance méritez-vous ? Même les pécheurs prêtent aux pécheurs pour qu’on leur rende l’équivalent. Au contraire, aimez vos ennemis, faites du bien et prêtez sans rien espérer en retour. Alors votre récompense sera grande, et vous serez les fils du Très-Haut, car lui, il est bon pour les ingrats et les méchants. Soyez miséricordieux comme votre Père est miséricordieux. Ne jugez pas, et vous ne serez pas jugés ; ne condamnez pas, et vous ne serez pas condamnés. Pardonnez, et vous serez pardonnés. Donnez, et l’on vous donnera : c’est une mesure bien pleine, tassée, secouée, débordante, qui sera versée dans le pan de votre vêtement ; car la mesure dont vous vous servez pour les autres servira de mesure aussi pour vous. » – Acclamons la Parole de Dieu.
Il serait difficile de bien comprendre le sens profond des béatitudes qu’entrevoit Luc par rapport à Matthieu, si on ne se rapportait pas à la première lecture du prophète Jérémie qui compare le sort de ceux qui se détournent du Seigneur à celui de ceux qui comptent sur lui.
Pour Jérémie, l’homme porte le poids de ses malheureuses ou bienheureuses décisions. Quand il se décide de se détourner de Dieu, il devient une terre de désolation tel le riche qui trouve dans ses richesses l’objet de sa consolation, en s’en fichant du reste dont le regard ne l’intéresse point.
Par contre, celui qui s’appuie sur le Seigneur gardera la verdure de son feuillage malgré la dureté de la chaleur. Vivant avec peu d’inquiétude, il continue de porter des fruits. C’est dans ce sillage que Jésus veut rappeler à ses disciples pourquoi ils sont heureux : ils ne sont pas loin de la source du bonheur ; dès qu’ils auront assez puisé, ils pourront aider les autres à se désaltérer.
Jérémie nous a montré l’importance de mettre notre foi dans le Seigneur, notre confiance. Pour élargir l’étendue de cette confiance, Jésus nous rencontre sur « un terrain plat » où il n’y aura pas de problème d’accessibilité comme si c’était sur la montagne !
Comme saint Paul l’a bien exprimé, c’est le fait que Jésus est ressuscité qui rend valable notre foi en lui et renforce notre confiance en la vie. Car par lui, les vivants et les morts ont accès à la résurrection. Autrement, c’est en vain que nous aurons cru.
En ce sixième dimanche du temps ordinaire, pensons à tous ceux qui sont encore maltraités à cause de leur foi .N’oublions pas ceux qui, ne croyant pas, se sentent perdus quoi que possédant de grands biens. Rendons grâce aussi pour ceux dont la foi a rendus heureux malgré tout.
Et toi qui ne manques pas d’inquiétude ? Médite un peu les paroles de ce chant : « N’aie pas peur, laisse-toi regarder par le Christ, laisse-toi regarder, car il t’aime ». Puis,écoute-le:
PREMIÈRE LECTURE Lecture du livre du prophète Jérémie (Jr 17, 5-8) Ainsi parle le Seigneur : Maudit soit l’homme qui met sa foi dans un mortel, qui s’appuie sur un être de chair, tandis que son cœur se détourne du Seigneur. Il sera comme un buisson sur une terre désolée, il ne verra pas venir le bonheur. Il aura pour demeure les lieux arides du désert, une terre salée, inhabitable. Béni soit l’homme qui met sa foi dans le Seigneur, dont le Seigneur est la confiance. Il sera comme un arbre, planté près des eaux, qui pousse, vers le courant, ses racines. Il ne craint pas quand vient la chaleur : son feuillage reste vert. L’année de la sécheresse, il est sans inquiétude : il ne manque pas de porter du fruit. – Parole du Seigneur.
DEUXIÈME LECTURE
Lecture de la première lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens (1 Co 15, 12.16-20)
Frères, nous proclamons que le Christ est ressuscité d’entre les morts ; alors, comment certains d’entre vous peuvent-ils affirmer qu’il n’y a pas de résurrection des morts ? Car si les morts ne ressuscitent pas, le Christ non plus n’est pas ressuscité. Et si le Christ n’est pas ressuscité, votre foi est sans valeur, vous êtes encore sous l’emprise de vos péchés ; et donc, ceux qui se sont endormis dans le Christ sont perdus. Si nous avons mis notre espoir dans le Christ pour cette vie seulement, nous sommes les plus à plaindre de tous les hommes. Mais non ! le Christ est ressuscité d’entre les morts, lui, premier ressuscité parmi ceux qui se sont endormis. – Parole du Seigneur.
ÉVANGILE
Évangile de Jésus Christ selon saint Luc (Lc 6, 17.20-26 )
En ce temps-là, Jésus descendit de la montagne avec les Douze et s’arrêta sur un terrain plat. Il y avait là un grand nombre de ses disciples, et une grande multitude de gens venus de toute la Judée, de Jérusalem, et du littoral de Tyr et de Sidon. Et Jésus, levant les yeux sur ses disciples, déclara : « Heureux, vous les pauvres, car le royaume de Dieu est à vous. Heureux, vous qui avez faim maintenant, car vous serez rassasiés. Heureux, vous qui pleurez maintenant, car vous rirez. Heureux êtes-vous quand les hommes vous haïssent et vous excluent, quand ils insultent et rejettent votre nom comme méprisable, à cause du Fils de l’homme. Ce jour-là, réjouissez-vous, tressaillez de joie, car alors votre récompense est grande dans le ciel ;c’est ainsi, en effet, que leurs pères traitaient les prophètes. Mais quel malheur pour vous, les riches, car vous avez votre consolation ! Quel malheur pour vous qui êtes repus maintenant, car vous aurez faim ! Quel malheur pour vous qui riez maintenant, car vous serez dans le deuil et vous pleurerez ! Quel malheur pour vous lorsque tous les hommes disent du bien de vous ! C’est ainsi, en effet, que leurs pères traitaient les faux prophètes. » – Acclamons la Parole de Dieu.
Imyaka 120 irashize uyu muti utangiye gukoreshwa.Hari mu 1899 ubwo laboratoire yitwa BAYER yawushyiraga ku isoko.Na n’ubu ukomeje kwitabirwa na benshi.Impamvu si iyindi, ni uko bishoboka ko ibinini bya aspirine birinda indwara zitari nke.
Umuntu agira umuriro mwinshi(fièvre),ikinini cya aspirine kikawuzimya mu kanya gato.Icyo abenshi bawukundira ni uko urinda amaraso gufatana(anti-coagulant)bityo ukoroshya itembera ryayo(circulation sanguine).
Ibinini bya Aspirine bifashwe mu rugero
N’ubwo uwo muti ufite nanone ingaruka mbi(effets indésirables) nko kuribwa mu gifu(gastrite)no kubabara mu nda(douleurs abdominales),ngo ushobora kugabanya ibyago byo kwandura kanseri y’umura(cancer du colon)no kuba wakwicwa n’indwara z’umutima(attaque cardiaque) cyangwa umuzamuko w’amaraso(hypertension).
Felix Hoffmann(Umudage)wayivumbuye mu 1894,byamusabye imyaka 5 kugira ngo yemeze BAYER yakoreraga,ko umuti we uvura koko. Yabanje kuwukoresha kuri se we umubyara,nuko abandi baganga baboneraho.Kuva muri 2008,uwo muti ukwira ku isi yose ukorewe 85% muri Espagne(Langreo)na 15% mu Budage no mu Bufaransa(ASPIRINE du RHONE).
Les deux fabrications d’Aspirine
Kuba Ishami ryita ku Buzima ku Isi yose (OMS)rishyira uyu muti mu rwego rw’imiti y’ibanze(médicaments essentiels) ngo umuntu yafata ku mugoroba kugira ngo amaraso atembere neza mu ijoro,bituma intambara ibica bigacika hagati ya ASPIRIN BAYER na ASPIRINE DU RHONE ngo hazemezwe nyir’ibitangaza.
Nyamara ahubwo icyari gikwiye ni ugushyira imbere ibitangaza ukora mu mubiri aho kwita bikabije ku byo ukora mu mifuka ya ba nyirawo kubera ufatwa na benshi ku isi,cyane cyane abagore batwite.
Giuseppina(Joséphine,en français)BAKHITA(1869-1947),soudanaise,esclave puis religieuse est protectrice des esclaves modernes,de la prostitution et de la maltraitance.Béatifiée par le Pape Jean Paul II le 17 mai 1992,Joséphine a té déclarée sainte le 1 octobre 2000.La Mère Noire,comme on l’appelait affectueusement, s’éteint le 8 février 1947. C’est en cette date que l’Église fait mémoire d’elle.
La vie de Sainte Bakhita
D’après Mère Maria Luisa Dagnino(livre: Bakhita,un chant de liberté)Joséphine est née au Darfour,Soudan,en 1869.Enfant encore(1876),elle est enlevée et vendue à un marchand d’esclaves. Entre 1876 et 1882,elle passe aux mains de trois autres patrons.Le dernier est le Vice Consul italien,Callisto Legnani qui l’emmène en Italie en 1885.
En 1888,elle entre dans l’Institut des Catéchumènes à Venezia(Vénise),géré par les Filles de la Charité Canossiennes. En 1890,malgré l’invitation à retourner en Afrique,elle décide de rester en Italie.Elle reçoit les sacrements du Baptême,de la Confirmation et de l’Eucharistie,le 9 janvier 1890.
Trois après(1893),elle entra au Noviciat.Le 8 décembre 1896,elle prononça ses premiers vœux religieux.En 1902,elle est transférée à Schio où elle devient cuisinière,portière,sacristine.C’est le 10 aout 1927 qu’elle fit sa Profession perpétuelle.
De 1937 à 1939,elle est à Vimercate en tant que portière.De retour à Schio,et malgré la détérioration de sa santé,elle intensifie sa propre vie de prière comme réponse à l’aide de ceux qui s’adressent à elle.
De jour en jour,les infirmités augmentent et sa santé continue à décliner.Le 8 février 1947,à 15h30,elle reçoit le Saint Viatique et l’Onction des Malades.Elle meurt à 20h10.Ses dernières paroles sont: « Comme je suis contente!…La Madone…La Madone… »
Ses petites anecdotes
Sainte Joséphine Bakhita
On lui demanda un jour: « Comment avez-vous fait pour arriver jusqu’ici? « Elle répondit: « C’est Lui qui a tout fait! ». Lorsqu’elle s’interroge » Comment le Seigneur a-t-il fait pour me prendre moi justement? »,Bakhita conclut: » Toute ma vie a été un don de Dieu;les hommes ont été,de diverses manières, ses instruments:merci à eux,pour avoir collaboré à m’obtenir le don de la foi »
2) A un congrès de jeunes à Cologne, un de ceux-ci lui demanda: « Que feriez-vous si vous rencontriez vos ravisseurs? » Sans hésitation elle répondit: « Si je rencontrais ces négriers qui m’ont enlevée,et également ceux qui m’ont torturée, je m’agenouillerais pour baiser leurs mains, parce que, si tout cela n’était pas arrivé, je ne serais pas,maintenant,chrétienne et religieuse »
3) Lorsque,en parlant de ses tortionnaires,une religieuse dit « Oh ces méchants »,Bakhita mit un doigt sur ses lèvres et lui intima: « Silence!Non, ils n’étaient pas méchants, les pauvres, ils ne savaient pas,ils ne connaissaient pas le Bon Dieu…Je prie beaucoup pour eux, pour que le Seigneur si bon et généreux avec moi,le soi avec eux aussi,jusqu’à les convertir et les sauver tous »
Prière du Pape François à Sainte Joséphine BAKHITA:
« Sainte Josephine Bakhita, enfant tu as été vendue comme esclave et tu as dû affronter des difficultés et des souffrances indicibles. Une fois libérée de ton esclavage physique, tu as trouvé la vraie rédemption dans la rencontre avec le Christ et son Église.
Sainte Josephine Bakhita, aide ceux qui sont prisonniers de l’esclavage. En leur nom, intercède auprès du Dieu de la miséricorde, afin que les chaînes de leur prison puissent être brisées. Puisse Dieu lui-même libérer tous ceux qui ont été menacés, blessés ou maltraités par la traite et par le trafic d’êtres humains.
Apporte le soulagement à ceux qui survivent à cet esclavage et enseigne-leur à voir en Jésus le modèle de foi et d’espérance afin que leurs blessures puissent guérir. Nous te supplions de prier et d’intercéder pour chacun de nous : afin que nous ne tombions pas dans l’indifférence, afin que nous ouvrions les yeux et que nous puissions regarder les misères et les blessures de tous nos frères et sœurs privés de leur dignité et de leur liberté et écouter le cri de leur appel. Amen. »
Pour l’intercession de Sainte Bakhita
O Dieu,Père de miséricorde, Toi qui nous as donné Sainte Joséphine Bakhita comme sœur universelle,et modèle évangélique de foi simple et de charité active,donne-nous à nous aussi la volonté de croire et d’aimer selon l’Évangile, et exauce les prières de quiconque invoque son intercession.Par le Christ notre Seigneur.Amen. Gloire au Père…..
Très bonne fête à toutes les Joséphine et les Jacqueline.
Ce dimanche 27 janvier 2019,Mgr Antoine Kambanda a pris le siège épiscopal de l’Archidiocèse de Kigali. Il a été intronisé dans une messe très solennelle en présence du Nonce apostolique à Kigali, des évêques du pays et de la région ainsi que des autorités civiles et confessionnelles. Y était présent aussi le Président de la République, Mr Paul Kagame.
Souvenir avec les autorités civiles(Président et Ministre de l’Intérieur)
En même temps,Mgr Kambanda a reçu la mission d’être aussi Administrateur apostolique du Diocèse de Kibungo jusqu’à la nomination d’un nouvel évêque. La nouveauté de cette fête a été son annonce de construire une cathédrale moderne, digne de la capitale de Kigali! Le président de la République, Paul Kagame, en a profité pour exprimer son soutien sans faille à condition que la construction soit ailleurs.
La promesse du Président Paul Kagame à Mgr Kambanda
Sans doute que les négociations vont s’accélérer pour que l’actuelle Cathédrale de Saint Michel soit déplacée, si elle n’est pas détruite. Ce déménagement permettrait en tout cas un espace large à la Résidence présidentielle. D’où ces questions: si le nouvel Archevêque refuse l’expropriation de saint Michel, sa cathédrale moderne aura-t-elle lieu?
Accolades présidentielles!
Certes, il y en a qui ont été jaloux d’entendre ces paroles de soutien à l’Église catholique.Mais, il faut se demander si cela n’est pas un piège tendu au Diocèse de Kigali de lier sa promesse à ce soutien du Président de la République? L’histoire nous dira si cette collaboration(qui n’est pas mauvaise en soi) était vraiment convenable pour la liberté d’action de l’Église.
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